23 septembre 2020
À la fin des années 60, dans le 5e arrondissement de Paris, Nabih Srour vendait ses dessins à l’encre de Chine sur le trottoir de la très animée rue Mouffetard, autour de 30 francs l’oeuvre, soit environ 7 $.
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La pandémie n’aura pas eu raison de tout. L’inspiration de ces deux artistes peintres, membres d’Arttram, ne s’est pas tarie pendant le confinement. Même que ce « Québec sur pause » a plutôt été un bon temps pour elles, pour essayer de nouvelles choses ! Pleins feux sur Rosalind Abensur et Jaya Perrier.